DOSSIER CONFIDENTIEL ”

Samaël Kieran Smith

MATRICULE : LCW : 25697841

••• HISTOIRE :

Date & Lieu de naissance : 15 mai 1985 à Los Angeles.
Origine : Anglaise.
Spécialité : Meurtres.

La ville des anges. C'est ainsi qu'on la nomme. A tort ou à raison, je ne saurais le dire. Mais c'est à Los Angeles que je vis le jour par un beau matin du mois de mai de l'année 1985. J'allais avoir la chance d'avoir toujours ce que je voulais dans les minutes qui suivaient ma demande. Mais je ne pense pas que ce soit cela qui fera mon bonheur. Smith. John Charles Smith, célèbre avocat connu et reconnu dans tous les États de ce pays est mon père. Un homme bon et loyale que je ne connaitrais malheureusement que très peu. Ma mère, une femme exceptionnelle. Mary Clara Smith. Une mère que tout le monde rêverait d'avoir. Moi j'ai eu cette chance, mais je n'ai pas su en profiter pleinement. Une enfance somme toute assez normal, qui va avec l'endroit dans lequel je vivais. Une magnifique villa dans un quartier hautement sécurisé de la ville. En bref, un endroit de rêve. Mais je ne voyais que très peu mon père qui était la plupart du temps à son bureau, je pense qu'il avait décrocher de la vie familiale depuis longtemps. Pourtant, il m'aimait, et je pense qu'il aimait encore ma mère, mais son travail passait avant. Il est mort brutalement lorsque j'ai eu 16 ans. Un meurtre. Un homme la percuté de plein fouet en voiture, mon père n'a pas survécu, il est mort sur le coup. Un coup dur dans ma vie, dans celle de ma mère. Mais elle a tenue le choc, pour moi, parce qu'elle ne voulait pas que je perde tour à tour mon père et ma mère. Mais dès ce moment, mon comportement devint plus distant.

C'est à l'âge de 18 ans que je prends la décision de m'engager chez les US Marines. Une décision que ma mère n'approuve pas réellement, mais elle continue de me soutenir. Moi-même je ne comprends pas, mais j'en ai besoin. Trop tôt, trop jeune. Je n'étais pas prêt à affronter toutes ces choses. L'entrainement fut dur, fatiguant, mais grâce à cela, je pris davantage confiance en moi. Et l'enfant que j'étais encore un petit peu me quitta définitivement, laissant place à l'homme que j'allais devenir. La guerre. La pire chose que les hommes sont capable de faire. Tuer d'autres hommes. Combien de balles ai-je tirer ? Je ne saurais le dire. Combien d'hommes ai-je tuer ? Je n'en sais rien. Mais ce fut des années horribles. Mes camarades qui s'écroulaient à côté de moi, le sang qui coulait.. Tout n'était qu'horreur et désillusion. Je n'en pouvais plus de voir tout cela, c'était beaucoup trop. Je ne supportais plus mes supérieurs qui ne cessaient de hurler tous les jours. Ils en voulaient toujours plus. Plus de sang, plus de mort. Mais moi, je voulais rentrer chez moi et retrouver cette liberté. C'est seulement à 24 ans que je quitte les US Marines. Au renouvellement de mon contrat, je n'ai pas signer. Je ne le voulais plus. Si seulement j'avais su ce qui arriverait ensuite, je pense que j'aurais recommencer pour encore 5 ans.

Le parfait criminel. Voilà ce que je suis devenu trois mois après être rentré chez moi. C'était un soir comme les autres. Après mon travail au garage, j'avais besoin de me défouler, je fis donc un footing comme toujours. Seulement, ce soir-là, en passant près d'une maison, j'entendis des cris terrifiants. Je m'arrêtais net, regardant en direction de cette bâtisse, je pris mon courage à deux mains et entra sans me poser de questions. Je fis toutes les pièces une à une, mais c'est seulement à l'étage que je découvris l'horreur de la scène. C'était pire que ce que j'avais vu durant la guerre, bien pire. Il y avait deux corps, deux femmes. Elles avaient été poignardés à plusieurs reprises. Le cri retentit une nouvelle fois, je me tournais brusquement et soudainement, ce fut le noir le plus complet. Lorsque je sortis de cet état, j'étais à l'hôpital, menottes aux poignets, attachés au lit. Je ne pouvais pas comprendre. Que se passait-il exactement ? Étais-je en train de faire un mauvais rêve ? Je ne le savais pas. Des policiers entrèrent dans la pièce, me toisant méchamment. J'ai cru qu'ils allaient me tuer sur place. Ils me posèrent pleins de questions, mais je ne savais pas quoi répondre. Pourquoi disaient-ils que j'avais commis un triple meurtres ? Je n'avais absolument rien fait ! Mais personne n'a su voir que je disais la vérité..

Au procès, selon l'expert en psychiatrie, j'étais un homme dérangé qui avait vu trop d'horreur durant la guerre. Cette période m'a fait perdre la tête, et mon besoin de voir du sang était le plus fort. J'avais besoin de tuer pour me sentir vivant. N'importe quoi. Je n'osais pas y croire. Je n'osais pas regarder ma mère qui pleurait à chaudes larmes durant le procès. Procès qui dura quatre jours. Le verdict fut sans appel. Condamnation à perpétuité pour le meurtre de trois personnes. Ma mère perdit connaissance à l'écoute du verdict, moi, j'étais désespéré. Plus jamais je ne serais libre. Tous mes rêves s'envolèrent. J'avais bon clamer haut et fort mon innocence, personne n'y croyait, sauf ma pauvre mère. Après avoir été dans une prison de haute sécurité, on m'a transférer dans celle-ci. Au moins, je dispose d'un peu plus de liberté, mais plus jamais je ne pourrais dire que je suis un homme libre.

••• CARACTÈRE :
Mon caractère n'a jamais été une chose facile à décrire. En fait, je pense que chaque être humain peut avoir deux personnalités différente. Tout dépend du contexte, de la situation et des gens avec qui il se trouve. Dans mon cas, je crois que cela se passe ainsi. Ce n'est pas un signe de folie comme on pourrait le croire. Mais on s'adapte bien souvent à comment les autres veulent que l'on soit. Notre famille, nos amis, nos collègues. Ils ont tous une vision bien à eux de la personne qu'ils ont en face d'eux. Alors mon caractère, comment est-il ? Je me le suis toujours demander. J'ai tellement jouer à être une autre personne que je ne saurais dire exactement où est-ce que je me place. Selon ma mère je suis quelqu'un de très gentil et généreux, prêt à rendre service à mes proches. Mais on peut toujours mettre en avant le fait qu'elle ne soit pas impartiale. Puisqu'elle est ma mère, elle ne voit forcément que mes bons côtés. Pourtant, elle dit la vérité, je suis comme ça. J'ai toujours été sympa envers les autres, je ne tourne jamais le dos à mes amis. En fait, ce sont eux qui me tournent le dos quand ça ne va pas. J'en ai eu la preuve, et je dois dire que cela me reste encore au travers de la gorge. Selon mes anciens camarades de la marines, je suis un impulsif, une tête brulée qui fait tout et n'importe quoi. J'ai vu des horreurs, eux aussi. D'une certaine manière, nous sommes liés par cela. Mais est-ce que cela fait d'eux des personnes qui me connaissent vraiment ? Je ne crois pas. Pourtant, ils disaient tous que j'étais le camarade parfait, toujours prêt à sauver un autre qui avait des galères. Jamais je n'aurais eu la moindre hésitation à me mettre sous les tirs ennemis pour aller sauver l'un de mes frères qui serait au sol. Des décisions pas toujours comprises par mes supérieurs, mais je n'en n'avais que faire. La loyauté est une chose ancrée dans ma peau et rien ni personne ne changera quoique ce soit à mon état d'esprit. Pour mes amis j'étais un mec bien, sans histoire, qui faisait tranquillement son boulot de marine. Même s'ils n'avaient pas compris pourquoi je m'y suis engager. Il faut dire que j'ai toujours tendance à prendre des décisions à la hâte et je ne pèse pas toujours les conséquences de mes actes. En y repensant, j'aurais certainement réfléchis à deux fois avant de me lancer dans les marines. Malheureusement, j'ai fais mon choix et on ne revient pas en arrière. Je ne suis pas rêveur ou tête en l'air. Encore moins lunatique. J'ai les pieds fermement posés sur le sol, et jamais ils ne quittent la Terre pour partir ailleurs. Pourtant, je suppose que cela pourrait me faire du bien. Le fait d'être toujours enfermé n'est pas un truc auquel on s'habitue. Je suppose que cela n'arrivera jamais, c'est impossible. Chaque homme rêve de liberté, de pouvoir faire tout ce qu'il veut. Ici, on ne peut pas. Plus jamais je ne serais un homme libre. Lorsque je quitterais cette prison, ce sera dans un cercueil. Toujours selon les autres, je citerais les enquêteurs et l'avocat durant mon procès. Je suis un être froid, assoiffé de sang qui ne ressent du plaisir qu'en torturant et tuant ses pauvres victimes. Je suis un homme qui mérite la peine de mort, d'être sur la chaise électrique et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Me mettre en prison n'était pas suffisant selon eux. Je mérite la mort, c'est aussi simple que cela. Tout ce qu'ils disaient de moi, je ne me reconnaissais pas. Non, je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas être démoniaque ou sataniste. J'en ai entendu des conneries, mais là, c'était le pire. Je suis l'opposé de ce qu'ils ont dis. J'ai toujours fais preuve d'une certaine franchise, disant haut et fort ce que je pensais, je n'ai jamais eu peur de me mettre les gens à dos à cause de cela. J'étais gentil et généreux, comme le disait ma mère. Mais ça, ils ne l'ont jamais compris. Tout le bien qu'il y avait en moi, j'ai l'impression qu'ils ont réussis à le faire disparaître. Aujourd'hui, je suis l'homme qu'ils ont décris comme un monstre. Je reste froid et distant, mais ce n'est pas ma vrai personnalité. Personne ne le sait. J'étais, je suis, je serais. J'étais lui, je suis moi, je serais l'autre. Parce qu'un jour ce masque tombera, et ce jour là, je tomberais avec lui. Alors qui suis-je vraiment ? Le mystère demeure.

••• QUE PENSES-TU DE « THE ROCK » ?
Ce que je pense de cette prison ? C'est une bonne question. J'en sais rien. J'ai un peu plus de liberté que dans l'autre, c'est certain. Avant, j'étais dans une prison de haute sécurité, je n'avais le droit de rien faire. D'ailleurs, les gardiens ne se privaient pas pour me le faire comprendre. Pour eux, je n'étais qu'un exclu de la société qui avait commit trois meurtres pour le plaisir. C'est ainsi qu'ils me voyaient, alors je n'avais droit à aucun respect. Là-bas, personne ne m'appelait par mon prénom, j'étais « le criminel ». Ici, je pense que c'est assez différent, bien que certains surveillants soient de la même graine que les autres, certains sont un peu plus humains. Je dispose de plus de liberté, ce qui n'est pas négligeable. Le fait que ce soit un lieu isolé ne me pose aucun problème, au contraire, j'aime ce fait. De toute façon, je n'ai jamais été réellement libre et enclin à être au milieu des autres. Préférant la solitude après la guerre. Alors ce que j'en pense ? C'est un plus et un moins.

••• ENVISAGES-TU UNE ÉVASION ?
Si j'envisage une évasion ? Pas le moins du monde. A quoi bon ? Je sais très bien qu'il est impossible de quitter cet endroit. Alors même si je le voudrais, je ne le pourrais pas. Je sais très bien que je suis forcé d'être ici jusqu'à la fin de mes jours. Pendant longtemps je voulais m'évader, mais cela ne servirait à rien. Il faudrait que je me cache jusqu'à la fin de ma vie, et ce n'est pas ce que je veux. De toute façon, je doute de pouvoir reprendre une vie normale un jour. Alors maintenant que j'y suis, j'y reste.

UN PEU DE TOI ;

• Maintenant, la partie la plus facile.. Il va falloir nous dire encore un tas de choses ! Nope, je déconne ! Nous aimerions savoir où as tu connu le forum ? La question à 8000$, j'en suis le co-fondateur ! (:. Aussi, ton identité. Mais t'en fais pas, nous ne bossons pas pour la CIA.. Du moins, pas moi ! Alors tu es Rainbow, tu as 20 ans, et tu penses venir au moins 6 jours par semaine. Ah ! Comme tu es un gentil membre, tu as lu le règlement et tu sais que le code est : validé par moi-même ! Niark !. Et ton niveau RP, sur 10, tu te donnes combien ? 7/10. Voilà, c'est fini ! C'était pas si difficile que ça, hein ?